Parler en public peut représenter un véritable défi. D’autant plus en posture debout. Cela demande de la confiance, de l’aisance, de l’écoute, de l’attention, de la concentration, une voix pleine et posée, une gestuelle étudiée, du souffle, une respiration maîtrisée … Cela implique une posture physique qui soit en corrélation avec le discours et le message à faire passer.
Parmi les « symptômes » récurrents qui peuvent décrédibiliser votre présence et distraire votre discours, je me propose de vous en décrire 3 dont il est préférable de prendre conscience et que je me suis amusée à « nommer » de manière humoristique:-)
Le Premier syndrome : Le « syndrome Rolland Garros »
Il consiste à arpenter la pièce, la scène ou l’estrade sur laquelle vous êtes en faisant les cent pas. Résultat : votre auditoire ne peut vous « fixer ». Comme s’il assistait à un match à Roland Garros et tournait la tête de gauche à droite puis de droite à gauche pour voir les échanges de balles.
Ces déambulations « intempestives » empêchent votre public ou les personnes qui vous écoutent de se concentrer sur ce que vous dites car vous les distrayez et polluer leur champ visuel. Cela ne donne pas de dynamisme car vous êtes en mode « pilote automatique » et dans une absence de regard et d’échange avec votre auditoire. Il n’est certes pas interdit de bouger dans une prise de parole debout, mais c’est à vous de prendre, en conscience, la décision de le faire, avec implication, et pour une « vraie raison » : interpeller quelqu’un dans le public, vous rapprocher des premiers rangs ou des personnes les plus proches de vous, répondre à une question posée…
Vous gagnerez en crédibilité et en écoute.
Les autres syndromes ? Le syndrôme du mal de mer et le syndrome du masque neutre.
Je vous invite à prendre connaissance de ce que je peux mettre à votre disposition en cliquant sur ce lien.
Mes podcasts sur ma chaine You Tube. Inscrivez-vous !
Mon pdf de 26 pages « Réussir vos prises de parole en public – Les premières marches ».