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devenir un bon orateur
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Nouveauté !! Suivre le parcours présentiel « Communiquer pleinement – Gagner en agilité et intelligence relationnelle »

 

Une bonne communication orale représente un atout considérable dans le monde professionnel.

Savoir transmettre et communiquer « en bonne intelligence », au sens large du terme, est une compétence très recherchée par les employeurs qui ont compris l’importance majeure des « soft skills » (compétences humaines et comportementales) et leur place fondamentale dans l’entreprise.

Je souhaite partager avec vous quelques clés qui vous permettront de consolider cette compétence en vous donnant des pistes pour y arriver.

Tout au long de cet article, et à titre d’exemple, nous suivrons le parcours de Claire, Directrice du pôle RH dans une PME. Depuis plusieurs mois, elle a intégré dans son service des pratiques visant à favoriser l’intelligence collective et les pratiques collaboratives. Elle doit prendre la parole lors d’une réunion de pôles pour y présenter son retour d’expérience sur la transformation des modes de travail de son équipe.

PREMIERE CLE :
le bon orateur prépare ses interventions orales /
sa communication

Nul n’est besoin de le préciser : une présentation publique, une prise de parole à enjeu, une réunion en entreprise, ou encore une web conférence… se préparent. Les meilleurs communicants, qu’ils soient conférenciers, hommes ou femmes politiques, grands patrons, managers, collaborateurs dans une entreprise… sont ceux/celles qui ont compris l’importance d’une bonne préparation en amont et qui se sont interrogés sur leur capacité à bien communiquer.

5 questions que Claire doit se poser pour préparer sa prise de parole et sa communication :

Première question : Quel est le public auquel je m’adresse ?

En d’autres termes, Claire doit « profiler » son « public », faire son « portrait robot ». Elle pourra ainsi répondre de la manière la plus adaptée et ajustée possible aux besoins et objectifs de ce « public » quand il assistera à sa prise de parole ou à sa communication.

Exemple :

Est-ce un public de spécialistes, de néophytes, plutôt sénior, plutôt jeune, plutôt rationnel, plutôt « créatif », international, des dirigeants, des commerciaux, un service comptabilité, un public hétéroclite ?…

Voyons comment Claire va procéder : elle disposera d’une heure pour parler aux directeurs-trices des différents pôles de son entreprise : le pôle RH auquel elle appartient, le pôle communication, le pôle marketing, le pôle comptabilité, le pôle informatique, le pôle recherche et développement.

En fonction de sa connaissance des différentes personnes qui composeront son auditoire, elle sera à même de « profiler » son public et de prévoir avec le plus d’acuité possible, comment elle doit organiser sa prise de parole pour la rendre intéressante et attractive.

Elle axera ainsi sa communication en fonction des « profils » et « fonctions » des différents participant-es à sa présentation.

Par exemple, il est fort à parier que le « public » de Claire aura des points communs mais aussi des singularités propres à chacun-e :

Les points communs pourront être :

  • un public orienté « résultat », qui favorise les faits et le « droit au but »
  • un public qui souhaite que le temps de la réunion soit respecté car son agenda est très serré
  • un public qui apprécie les retours d’expérience concrets
  • un public qui souhaite passer à l’action et mettre en œuvre des pratiques d’intelligence collective et de pratiques collaboratives s’il est convaincu par Claire
  • un public exigeant
  • un public motivé car potentiellement directement concerné par l’expérience de Claire

Les singularités pourront être :

  • des directeurs-trices de pôles qui sont plus sensibles aux éléments chiffrés, aux KPI
  • des directeurs-trices de pôles qui seront plus sensibles au côté « émotionnel » et « humain ». Ils auront besoin de comprendre comment la nouvelle mise en place de Claire a été perçue par les différents membres qui constitue son équipe
  • des directeurs-trices de pôle qui sont plus « visuels » ou plus « auditifs », ou plus « kinesthésique » (Claire prêtera dans ce cas attention à ses slides powerpoint afin que toutes les « préférences cérébrales » soient satisfaites.)

Deuxième question : Quels sont les besoins, demandes, enjeux de mon public / auditoire / interlocuteur ?

Claire n’est certes pas Madame Irma 😊 mais elle a :

  • soit une très bonne connaissance des préoccupations et enjeux de son « public »,
  • soit une vision suffisamment large pour identifier dans les grandes lignes leurs besoins, demandes et enjeux et entrer dans leur logique.

Exemple :
En travaillant sur le profil type de son « public », Claire a identifié qu’elle devra très probablement aborder les points suivants :

  • son retour d’expérience sur la mise en place de pratiques visant à favoriser l’intelligence collective et les pratiques collaboratives
  • un rappel du contexte qui l’a amenée à mettre en place de nouvelles pratiques de travail
  • les pratiques qu’elle a concrètement implémentées
  • les indicateurs de performance qu’elle a mis au point (KPI/ROI)
  • les réticences /obstacles auxquels elle a du faire face
  • les soutiens dont elle a bénéficié
  • le temps qui lui a été nécessaire pour intégrer ces nouvelles pratiques de travail
  • les personnes dont elle s’est entourée (en interne, en externe…)
  • le coût qu’une telle mise en place a représenté
  • les éventuels logiciels ou applications qu’elle a déployé au sein de son service
  • les résultats qu’elle a obtenu très concrètement avec des chiffres à montrer sur le degré de performance ou d’implication de ses équipes et les résultats sur la productivité, sur les objectifs à atteindre…
  • les « best practices » qu’elle en a retirés afin que d’autres pôles puissent mettre en place ces nouvelles méthodes de travail
  • les futures étapes
  • un temps de questions/réponses
  • …/…

En se posant les questions 1 et 2, cruciales, Claire s’est donnée les moyens d’élaborer une structure de présentation qui conviendra au public auquel elle s’adressera. Elle s’est interrogée avec précisions sur ce qu’elle pressent des demandes de ses interlocuteurs.

Claire peut également se poser la question sous cette forme : « si j’assistais moi-même (en tant que participante) à la réunion que je prépare, quelles sont les informations principales auxquelles j’aimerais que l’on réponde ? quels seraient mes tous premiers « besoins » en terme d’information ? »

Se poser ces 2 premières questions favorisent :

  • une bonne adéquation entre l’intention de Claire à fédérer son public/auditoire/interlocuteur autour de son expérience de mise en place de pratiques d’intelligence collective et de pratiques collaboratives, et le niveau d’information dont son public a besoin pour avoir envie de l’écouter jusqu’à la fin de sa présentation
  • une cohérence entre les attentes de son public et les thématiques abordées par Claire
  • un plan très structuré qui respecte les « modes préférentiel d’apprentissage » en termes d’appropriation de l’information. Claire pourra illustrer ses propos avec des images, photos, métaphores ou encore avec des chiffres, graphiques ou tableaux. Elle pourra relater des anecdotes, faire du « story telling », faire venir des « témoins » qui auront expérimenté ses nouvelles méthodes de travail, proposer une courte vidéo qui montrera concrètement un extrait d’une réunion réalisée grâce à des outils d’intelligence collective…Bref, avec ces simples questions posées en amont de sa présentation, Claire s’offre la possibilité d’être inventive sur la manière qu’elle aura de transmettre l’information et de susciter l’intérêt.

Se poser ses 2 premières questions évitent :

  • un plan de présentation confus qui pourrait amener les participants à s’interroger sur la pertinence de leur participation à la réunion de Claire
  • une présentation unilatérale sans échanges, sans exemples concrets, rébarbative et ennuyeuse, car ne correspondant pas aux attentes des participants

Troisième question : Quel est « l’objectif résultat » que je souhaite obtenir quand je viens prendre la parole / communiquer avec mon « public » / auditoire / interlocuteur ?

En se posant cette question, Claire se donne la possibilité d’atteindre un objectif tangible, mesurable et observable. Ces 3 derniers mots ont leur importance !! Il ne s’agit pas en effet de se dire « je veux que l’on m’écoute » ou « je veux fédérer autour de mon projet ». Trop vague ! Il s’agit de fixer un objectif que Claire pourra mesurer très concrètement.

Exemple :

Elle a profilé son auditoire puis elle a réfléchi aux demandes/besoins/enjeux de cet auditoire. Son objectif résultat pourrait être formulé ainsi :

« A l’issue de ma présentation, mon objectif est de constituer un groupe de « pionniers relais » au sein de l’entreprise pour transmettre les nouvelles pratiques d’intelligence collective et collaboratives à l’ensemble du personnel ».

Ainsi, à l’issue de sa présentation, Claire proposera de constituer ce groupe avec les différent-es /directeurs-trices de pôles partant-es pour tenter cette aventure excitante. Elle aura ainsi un « vrai » résultat tangible et mesurable de réussite de son objectif. Elle œuvrera en ce sens dans sa manière de transmettre et de conduire sa réunion.

Quatrième question : Quels sont les messages principaux que je veux faire passer pendant ma prise de parole / communication ?

Autrement dit, quels sont les éléments principaux que je souhaite que mon auditoire/interlocuteur/public retienne ?

En règle générale, un maximum de 3 messages clés est conseillé afin de de rester concentré sur l’essentiel et de ne pas noyer l’information que vous transmettez.

Exemple avec Claire :

Ses 3 messages principaux pourraient être :

  • les pratiques d’intelligence collective et collaboratives fonctionnent très bien
  • ces pratiques permettent une productivité accrue des collaborateurs et une adhésion beaucoup plus importante sur des projets stratégiques importants pour l’entreprise
  • il est crucial de préparer la mise en place de ces nouvelles pratiques par une approche réfléchie de conduite d’accompagnement au changement

Au cours de sa présentation, Claire fera part à plusieurs reprises de ces différents messages en insistant sur ces différents points.

Comme précisé lors de la deuxième question, Claire pourra utiliser des moyens différents pour répéter ses messages en respectant les différents modes d’apprentissage de son public : des vidéos, des témoignages, des graphiques chiffrés..

Cinquième question : Avec quelle(s) intention(s) je viens parler / communiquer ?

Si la troisième question abordait le côté «résultat tangible », cette 5ème question fait appel à ce qui vous « habite » quand vous venez prendre la parole.

Exemple :

Vos intentions sont-elles plutôt de :

Fédérer, informer, convaincre, former, vendre, partager, négocier, vulgariser, conseiller, rassurer, recadrer, argumenter, remercier, inspirer, créer du lien, permettre l’échange, donner une « vision »… ?

Plus vous êtes aligné-e avec vos intentions, plus vous « rayonnez » cette intention autour de vous. Vous valorisez votre côté pragmatique, méthodique, « corporate », mais aussi votre côté « humain », indispensable aux qualités intrinsèques d’un bon orateur.

Revenons à Claire. D’un naturel très généreux et ouvert, Claire souhaite convaincre et fédérer. Elle travaillera donc non seulement à la structure de son plan en fonction de ces intentions (tel que nous l’avons déjà évoqué à la 2ème question) mais aussi sur son côté chaleureux, souriant, persuasif, inclusif.

Elle pourra par exemple, en amont de sa présentation, faire une « visualisation » de sa réunion en prenant un temps de centrage en silence pour se concentrer sur les valeurs qui lui sont chères et oser s’autoriser davantage son côté généreux.

La visualisation consiste à prendre un temps de concentration pour imaginer ce que vous souhaitez réaliser/vivre/ressentir en « rencontrant » tout ce qui vous habite et constitue votre singularité et ainsi vous donner les meilleures perspectives d’ouverture à soi et à l’autre pour faire émerger votre humanité.

Pour Claire, faire une visualisation de ses intentions de convaincre et fédérer lui permettra de se « remplir » de sentiments et d’émotions qui lui sont propres pour mener sa réunion dans les meilleures conditions possibles.

DEUXIEME CLE : Le bon orateur est à l’écoute de son public

Savoir écouter son « public », jauger son auditoire, être en capacité d’identifier rapidement ses préoccupations, ses interrogations, ses inquiétudes, ses peurs, ses mécanismes de défense mais aussi ses aspirations, ses joies, ses acquiescements… constitue le socle de départ d’une excellente communication impliquée et engagée. Cette écoute et cette analyse perspicaces et rapides permettent en effet à la personne qui parle de se mettre sur les bons canaux de communication, de rentrer en empathie et de renvoyer une image confiante et accessible qui déclenche à son tour plus facilement le phénomène d’identification nécessaire pour que le « public » adhère et se sente concerné et entendu.

Claire sera attentive aux « signaux faibles » envoyés par son auditoire. Par exemple : des signes de contentement ou d’agacement ou encore des signes d’incompréhension éventuelles sur ce qu’elle expliquera.

En étant attentive à cela, Claire sera dans une grande implication émotionnelle et saura répondre aux différentes sollicitations de son auditoire. Elle évitera ainsi de rentrer en mode « pilotage automatique » en récitant sa présentation sans être à l’écoute de ce qu’il se passe autour d’elle et en elle  au moment où elle parle.

TROISIEME CLE :  Le bon orateur ne « joue pas un rôle »
mais il sait qu’il a un vrai « rôle à jouer » !

Prendre la parole en public (même en comité restreint) n’est pas « naturel ». C’est une position et une posture qui peuvent être stressantes et difficiles à tenir. D’où la nécessité pour l’orateur, de travailler à sa singularité et d’assumer pleinement sa personnalité et ses valeurs intrinsèques.

Claire  « joue un rôle » si : elle fait semblant d’être extraverti alors qu’elle est plutôt d’un naturel introverti. Si elle se force à bouger tout le temps alors qu’elle se sent plus à l’aise en étant immobile. Si elle raconte des blagues alors que ce n’est pas dans ses habitudes. Si elle parle très fort alors que sa voix est plutôt douce et discrète…

Claire à un vrai « rôle à jouer » si : elle se pose les 5 questions clés. Si elle travaille à sa confiance en soi et à sa propre légitimité. Si elle sait pourquoi elle vient parler à son public. Si elle travaille à ses intentions. Si elle travaille à ce qu’elle souhaite obtenir quand elle prend la parole. Si elle réussit à faire avancer ses convictions pour la bonne marche de son entreprise en accord avec ses valeurs. Si elle est extrêmement sincère et honnête avec elle-même et envers les autres…

Le « public » veut voir et entendre quelqu’un d’authentique, de vrai, d’accessible, de cohérent entre l’image renvoyée et le discours tenu. Il a besoin de congruence.

QUATRIEME CLE : Le bon orateur croit à ce qu’il dit

Il est concentré sur ses mots et ses paroles. Il est investi et engagé. Il ne pense pas à ce qu’il va dire dans les minutes qui suivent mais à ce qu’il est en train de dire là, maintenant, à cet instant précis. Il mobilise ainsi son public car il habite ce qu’il dit et il l’incarne vraiment. Il est absolument crédible et présent à lui-même. Il s’engage. Il vit ce qu’il dit. Il a les bonnes intentions derrière son « message ».

CINQUIEME CLE : Le bon orateur n’a pas peur des silences

Il sait relancer l’attention et la tension (positive !!) en respectant des temps de pause, en permettant à l’auditoire de réfléchir. Il a compris que faire ingurgiter un trop grand nombre d’informations en un temps record est contre productif et inutile. Il respecte le temps dont a besoin son public pour rester motivé et en pleine possession de sa concentration. Il sait aussi que marquer un silence « fait de l’effet » . Il peut donc l’utiliser à bon escient pour consolider son charisme et sa légitimité.

Conclusion :

Être un bon-ne orateur-trice nécessite des compétences multiples qui font appel à la fois à de l’organisation, à de la logique et à une bonne préparation, mais aussi à des compétences humaines indispensables au bon équilibre d’une prise de parole réussie.

Loin d’être exhaustif, je souhaite que cet article vous ai apporté une vue d’ensemble suffisamment précise pour que vous puissiez vous améliorer dans vos présentations orales et/ou vous perfectionner dans votre rôle d’orateur-trice / communicant-e.

Mes bonus pour aller plus loin

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Mon pdf de 26 pages « Réussir vos prises de parole en public – Les premières marches ».

Merci de me laisser vos commentaires et de partager vos retours d’expérience ! Ils me seront très utiles pour vous proposer du nouveau contenu !

Cet article comporte 4 commentaires

  1. Merci pour cet article très complet et très instructif. Je fais partie de ces personnes peu sûre d’elles et pas forcément à l’aise en public et je cherchais une méthode pour faire mes premiers pas. J’ai trouvé de nombreux éléments qui peuvent me permettre de préparer une future prise de parole efficace et organisée. Un mode d’emploi qui me rassure d’ores et déjà. J’ai aussi téléchargé le pdf « réussir vos prises de paroles – les premières marches » et je l’ai lu avec beaucoup d’attention. Vous nous faites partager vos connaissances et votre expertise en communication avec une grande générosité, et votre démarche est très professionnelle. Cela donne vraiment envie de se faire accompagner par vous. Au plaisir d’une future collaboration !

  2. Merci Marie Verguet pour cet excellent article.
    J’apprécie tout particulièrement la justesse de votre approche: en effet, bien au delà des techniques de respiration et de diction, bien au delà de la gestuelle et de ce qu’on appelle la communication non verbale, le bon orateur doit avoir une stratégie dans sa prise de parole et c’est même ce qu’il doit travailler en tout premier.
    Le message, la cible, l’intention… sont les clés.
    Ces éléments sont souvent oubliés et l’on propose trop souvent une approche de la prise de parole basée sur de la technique.
    Mais quand bien même je réussirais à ne plus trembler devant mon auditoire, ne plus transpirer à grosses gouttes tant mon stress est important, quand bien même je serais détendue et à l’aise… si je n’ai rien à dire, s’il n’y a pas de message, alors mon auditoire continuera de bailler et de tapoter sur son mobile.
    Comme l’indique le commentaire précédent de Mme Rieder, votre expertise pointue et votre approche donnent envie de se faire accompagner par vous !
    A très bientôt donc, Sylvie

  3. Merci est un petit mot qui ne représente pas vraiment le plaisir et l’attention que j’ai eue à vous lire. Votre propos respecte le rythme de chacun et devient nécessaire non seulement en « Affaires » mais en toute occasion. Nous oublions souvent de nous préparer lors avant une rencontre familiale ou amicale prenant pour acquis que tout viendra selon le fil de conversation. Sauf que de se préparer à rencontrer un être cher rassemble un peu tout cela. Le fait de se préparer, de visualiser et de porter attention sur notre intention améliorera sûrement toute rencontres…Plus nous le pratiquons et plus nos relations deviendront saines. Merci encore et encore

    1. Merci beaucoup Micheline pour votre commentaire. Revenir à l’essentiel, et mettre dans cet « essentiel » l’aspect « intention » et visualisation est à mon sens une partie importante du travail de l’approche d’une communication de qualité en effet. Communiquer est un tout et c’est un formidable moyen de rencontrer l’autre tout en faisant connaissance avec soi-même :-). Bien à vous.

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